1,8-diazafluoren-9-one Cas : 54078-29-4 Poudre cristalline orange à 99 %
Numéro de catalogue | XD90216 |
Nom du produit | 1,8-diazafluorène-9-one |
CAS | 54078-29-4 |
Formule moléculaire | C11H6N2O |
Masse moléculaire | 182.18 |
Détails de stockage | 2 à 8 °C |
Code tarifaire harmonisé | 29339980 |
Spécification de produit
Métaux lourds | <0,01 % |
Identification | HPLC, conforme à la norme |
Perte au séchage | <0,1 % |
Essai | >99% |
Apparence | Poudre cristalline orange |
1. Une nouvelle méthode d'amélioration des empreintes digitales latentes traitées à la ninhydrine ou au 1,8-diazafluorène-9-one (DFO) sur papier thermique sera décrite.La plupart des surfaces thermosensibles du papier thermique deviennent sombres lorsqu'elles sont traitées avec une solution de DFO ou d'éther de pétrole à la ninhydrine (NPB).Cet effet minimise le contraste entre les empreintes digitales développées et l'arrière-plan.La nouvelle méthode décrite réduit cette coloration sombre sans enlever la couche thermosensible et les parties des empreintes digitales développées, comme cela se produit avec le lavage à l'acétone.Grâce à la nouvelle méthode, les empreintes digitales développées apparaissent dans des lignes nettes et un contraste élevé.Des tests approfondis ont été effectués, aboutissant à une solution de travail optimisée, qui charge le papier avec un minimum de produits chimiques, est bon marché et permet de traiter une grande quantité de papiers en peu de temps.La solution de travail contient des composés organiques azotés non volatils disponibles dans le commerce et peut être utilisée comme l'application de la solution NPB par trempage.
2. Cet article décrit l'étude de la réaction entre la 1, 8-diazafluorène-9-one (DFO) avec l'acide aminé L-alanine dans l'alcool méthylique.Un intérêt particulier a été porté au rôle éventuel du solvant qui semble réagir avec le DFO pour former un hémicétal qui est l'espèce réactive.Une voie de réaction potentielle est proposée sur la base des données actuelles collectées.Les intermédiaires et produits de réaction ont été identifiés par une variété de méthodes spectroscopiques, notamment la spectrométrie de masse (MS), la spectroscopie par résonance magnétique nucléaire (RMN) et la cristallographie aux rayons X.